Fiche Zora [FICHE VALIDE]

Nom : Elle n’a pas encore accepté de le divulguer à qui que ce soit...

Prénom : Zora

Age : 22 ans...

Description physique : Zora est de type asiatique, sa mère pourtant d’origine européenne, mais son père –inconnu-, devait certainement être du Vietnam, dans ces eux-là. Mais Zora n’en est pas moins jolie, d’ailleurs elle le prouve sur de nombreux points : les hanches de Zora sont bien dessinées, comme le corps merveilleux d'une guitare enchanteresse. Ses fesses rondes et douces, ne sont qu'un appel à la caresse. Son dos, bien souvent dénudé - pour le plaisir de chacun - est galbé et sensuel, comme tout son corps. Sa poitrine généreuse, ne possède pourtant pas d'excès visible, assez pour offrir un décolleté des plus agréables et des plus envieux. Enfin, le cou gracile de la jeune fille, fin, délicat, parfait, donnerait envie à n'importe quelle créature d'y venir cueillir son sang sucré et délicieux.

Arrive donc le visage ovale de la légiste. Son menton légèrement en avant prouve sa détermination. Ses pommettes rehaussées de rouge, laissent découvrir aux coins de ses lèvres roses et sensuelles, fines et pourtant déroutantes, des fossettes lorsqu'elle sourit - ce qui est bien rare, malheureusement : le sourire lui va si bien... Son nez droit et franc donne naissance à une arcade sourcilière de même forme prouvant son air têtu et obstiné, borné. Ses yeux déroutants et profonds, sont pourtant emplis d'une compréhension réconfortante, d'une paix dans laquelle on aimerait se noyer...Ah, ses grands yeux noisettes qui ne cessent de virer au vert lorsqu'elle est heureuse et vive ! Ils en auront fait tourner, des prétendants...Tout comme le parfum feutré et délicat d'une fleur inconnue et unique qui repose dans ses cheveux noirs et tellement longs, sans cesse en mouvement comme pour prouver leur douceur flagrante...

Zora est magnifique, digne d'une mannequin. Elle fait honneur à son métier, légiste, elle qui possède la peau si blanche et nacrée, prouvant bien qu'elle n'avait connu que l'amour laiteux de la lune -et les travaux dans le froid des sous-sols. Petite particularité : Sur son corps, elle possède de nombreux tatouages tribaux, qui ne la rendent que plus exotique... Mais ceux-là, elles ne les montrent jamais : ils sont la preuve d’une très ancienne trahison.

Description psychologique :
D’un tempérament plutôt fougueux et déterminé, Zora frôle parfois l’insolence envers les autres. Elle met un point d’honneur à dire ce qu’elle pense. La jeune femme a pourtant une certaine tendance -c'est une façon de dire qu'elle le fait quand ça l'arrange- à vouloir venir en aide aux gens. Le dynamisme est une autre de ses caractéristiques. Jamais fatiguée (si, si ! C'est possible !), elle est motivée et travaille d’arrache-pied à son boulot. Elle est d’une énergie débordante qu’elle doit se contenir d’utiliser à mauvais escient, tâche difficile. En effet, suite à son passé plutôt tumultueux, elle a tendance à vouloir régler les problèmes par la violence. Zora est toujours restée plus ou moins agressive quand quelqu'un l'attaque, aussi bien verbalement que physiquement, et elle n'hésite pas à ce moment d'utiliser la force. Seule trace de ce trait de caractère est une batte de base-ball -dont elle prétend d'ailleurs qu'elle sert à son travail et non à frapper en cas de problème, mais c’est difficile à croire, vu qu’elles travaillent avec des morts ^^’’- qu'elle a toujours avec elle et que Zora lève dangereusement lorsqu'elle se met en colère. Rebelle dans l'âme, heureusement qu'on lui a confié ce poste à la morgue plutôt que comme agent de police... Sinon les criminels auraient eu de quoi baver. "Moins de blabla, plus d'action !" est sa citation préférée car elle trouve que les conversations sont source de mauvaise entente -elle en est l'exemple rêvé- et que c'est à cause de ça que les gens se disputent. Néanmoins Zora est d'une compagnie très agréable en dehors des moments où elle se balade avec ses scalpels et qu'elle ne porte pas ses vêtements tâchés de sang ou d’autres substances assez écoeurantes. Ce n'est pas parce qu'elle est légiste qu'elle est nécessairement morbide. En effet, il lui arrive très souvent de mettre de la musique des Teletubies dans la morgue pour un peu égayer les lieux. A vrai dire, elle est très intelligente, comme la plupart des gens au poste de police, mais sa petite pointe de sadisme l’a empêchée de s’occuper des criminels... Alors elle passe des heures seule, dans les sous-sols, à tenter de découvrir une partie des mystères, pour aider les policiers dans les enquêtes. Si je dois pourtant vous donner un conseil, ce serait de l’avoir comme amie que comme ennemie. Ennemie, elle pourrait aller jusqu’à refuser de s’occuper du corps.

Histoire :
Alors qu'au dehors la neige recouvrait la misère des rues, au cœur d'un imposant ghetto de prolétaires, ses yeux noisettes s'ouvrirent pour découvrir l'abominable décor qui risquait de la suivre toute sa vie… Dans une pièce de trois mètres sur deux se tassaient les misérables membres de la famille : une jeune femme seule à la charge de ses deux enfants, Zora et Raphaël. Peu de meubles, mais suffisamment pour réduire l'espace libre à moins d'un mètre carré, reposaient sur le sol bétonné de ce misérable appartement… Si misérable qu'on y dormait à même le sol. Un vieux drap élimé remplaçait le matelas tandis qu'une couverture rêche et rongée par les mites apportait une bien faible source de chaleur. Une petite table branlante accompagnée de chaises tellement usées qu'elles s'affaissaient se dressait au milieu du logement et semblait sur le point de s'effondrer… Le coin cuisine se réduisait à une étroite cheminée et à un évier de pierre qui n'avait pas la chance d'accueillir l'eau courante…
C'était dans ce "trou à rats", dont le loyer dépassait presque les moyens de la malheureuse Sophie, que devait grandir la délicate Zora, une enfant non désirée, issue d'un père inconnu… Mais qu’y pouvait Sophie ? C’était les aléas du métier. Sophie devait offrir son corps pour survivre, depuis que son mari l’avait quitté à cause de la petite vérole. Les rues du ghetto étaient très dangereuses et le seul moyen d’y survivre, c’était de travailler sous les ordres de la mafia du coin.

Sophie essaya donc d’éduquer au mieux ses enfants, mais c’est bien difficile quand chaque jour, un homme la rejoignait et qu’elle devait s’exécuter sous les yeux même de ses chers petits. Zora connut très jeune la difficulté de la vie : habitant dans un ghetto et regardant sa mère coucher avec des hommes qu’elle ne connaissait même pas, elle comprit que si elle restait ici, elle ne pourrait jamais en sortir. C’est à l’âge de dix ans, avant qu’elle ne se fasse enrôler à son, tour dans la mafia comme une vulgaire prostituée, que Zora partit pour les quartiers « normaux ». Elle se retrouva malgré tout dans la misère. Qu’avait-elle pu espérer ? Alors elle revint chez elle, mais monta un plan pour s’échapper.

Zora devint rapidement proche d’un des mafieux les plus importants du coin. Pour la première fois, cet homme dut faire preuve de douceur pour conquérir Zora. Quand il réussit, elle lui offrit tout ce qu’il voulait... en échange d’un service. Il lui donna sa chance : elle put aller à l’école. Zora devint la chose de ce chef, mais elle s’en fichait : elle pouvait enfin apprendre. Très rapidement, comme toutes les personnes qui étaient avides de connaissances, elle voulut exploiter ce qu’elle avait appris et aurait bien aimer approfondir certaines de ces passions, mais il ne voulut pas. Son amant décida qu’elle devenait trop maligne et que ce n’était pas bon pour els affaires. Alors elle essaya de s’enfuir. Quand il la rattrapa, il a voulu la punir pour qu’elle ne veuille plus recommencer : alors, il la tatoua. Cette expérience fit comprendre à Zora que le monde dans lequel elle vivait était trop mauvais. Elle quitta la mafia pour aller au bureau de police. Là, elle leur raconta toute son histoire, comment elle était devenue l’esclave de la mafia et de son chef, qu’elle avait voulu s’enfuir et... Que son corps en était à jamais marqué. Un dossier fut ouvert à son nom et elle devint un témoin dans un procès très dangereux... Dangereux pour elle et pour la mafia. On la laissa donc se construire une nouvelle vie, grâce au programme de protection des Témoins. Aujourd’hui, elle a terminé les études qu’elle avait commencé il y a longtemps et est à la police comme médecin légiste, scientifique également. Ça va bientôt faire un an qu’elle est là, mais jamais personne n’a vraiment su qui elle était et d’où elle venait.


Vous


Avez vous déja joué sur des forums type Jeu de role (role play)? Ouiiiiiii ^^

Le nom de la personne sur votre avatar : Hyori Lee

Magnifique! Fiche validé avec les compliments du staff...