Arrive, ne sachant que faire...

Ca matin là, l'agent Ryan Akins s'était levée tôt, il avait décider de faire, comme d'habitude, bonne imprésion à son nouveau commissariat. A peine levée, il avait déjà mit un pantalon et un tee-shirt de sport pour aller faire un jogging d'une trentaine de minute. Il courait, courait, et enfin, il rentra pour se préparer, mais avant, il fit une série de vingt-cinq pompe et vingt-cinq abdos pour garder une bonne forme.Après tout cela, il se désabilla et il prit une bonne douche. Le pire était à venir, choisir ses vêtement, il falait faire bonne imprésion, mais être aussi décontractée... Il choisit alors de mettre son habituelle "chemise-pantalon"... Il prit une chemise rayée vert et blanc et un jean simple, puis passa à la seconde étape, se coiffer. Là, tout le pot de gel aller y passer! Il prit un peu de gel dans ses mains et fit une crête pas trop haut, mais qui aller bien avec les vêtements qu'il avait choisi! Il prit un gilet, une serviette [la mallette ], puis il se mit en route vers son travail.

Il arriva devant le commissariat et il regarda en souriant à tout le monde. Il entra et alla voir à la reception, il toussota pour appeller une charmante dame qui le reçut par un charmant sourire. Sans plus attendre, Ryan lui demanda en souriant:

"Bonjour, je suis Mr. Ryan Akins, je dois travailler dans ce commissariat et je suis à la recherche de mon bureau, ou de l'endroit où je vais travailler, pourriez vous m'aider s'il vous plaît?"

Il sourit à la dame en attendant un réponse

Modern Knight Nombre de messages : 351 Age : 33 Date d'inscription : 11/07/2007

"Bonjour monsieur on m'a prévenu de votre arrivé mais le capitaine ne vous attendez pas avant une heure ou deux...

Je crains malheureusement qu'il ne soit donc présent pour votre arrivé, c'est pourquoi je vous demanderais de vous présenter au bureau de l'agent Jack Wilson, il s'occupera de vous montrer votre bureau, de vous donner une arme de service et votre badge..."

Elle prit un passe visiteur et un petit plan du commissaria...

"Tenez avec ce plan vous pourrez vous repérer, et prenez ce passe pour circuler en attendant..."

"Bien merci, je vais aller au bureau de Mr.Jack Wilson.Je crois que ce plan va m'être très utile, je vous remercie, en ésperant vous revoir, au plaisir!"

Il sourit à l'homme et se faufila dans les couloir pour trouver le bureau de l'agent Jack Wilson où il serait enfin considérer comme flic. Bien qu'il avait le plan, il ne trouver pas, son sens de l'orientation n'était très élevée. Il interpella une jeune femme pour lui demander où se trouver le bureau de l'agent Wilson.

"Bonjour madame, je m'appelle Ryan Akins et je vien d'arriver au commissariat. Je cherche le bureau de l'agent Jack Wilson, bien que j'ai un plan, je ne trouve pas, pourriez vous me l'indiquer s'il vous plaît?"

*Devinez qui était d’excellente humeur ? D’accord, tout le monde a perçu le ton ironique de ma question. C’est vrai, je ne suis pas vraiment en super forme olympique, bien que j’avoue que je saurais avaler un éléphant. Je suis restée plus de cinq heures dans le sous-sol et ce, depuis le milieu de la nuit. Juste parce que soi-disant le corps « pourrirait ». Qu’est-ce que je m’en fous qu’un corps pourrisse ! De toute façon, c’est moi qui suis obligée de l’ouvrir, alors qu’est-ce que ça peut leur faire ?! Non mais sans blague... Donc, quelqu’un m’a fait venir à je ne sais quelle heure du matin – sans aucune raison valable je pense- et comme je me suis montrée ensuite incapable de me rendormir je l’ai ouvert ce corps à la ***.*

Discourant des pensées assez... vulgaires, Zora se déplaçait dans les couloirs du Commissariat aussi vite que l’éclair. Bon ok, pas aussi vite que ça, mais quand même la colère lui donnait de l’énergie. Mais la première chose qu’elle voulait faire maintenant c’était boire au moins deux litres de bon café pour réussir à garder ses yeux ouverts. Et puis... Aussi prendre une douche parce que sinon... L’odeur de ce cadavre lui resterait encore sur l’estomac, ou alors sur celui qui aurait le malheur de la sentir. La délicieuse légiste prit donc une de ses longues, trèèèès longues douches qui la remettaient en forme. Ça ne changeait en rien son humeur, mais elle était un peu plus détendue ainsi.

Zora portait un débardeur rouge foncé qui constrastait avec sa peau satinée, proche de la blancheur nacrée... Un simple jeans pour pantalon et la voilà repartie pour d’autres aventures trépidantes. Ses cheveux noirs de jais avaient été lâchés sur ses épaules et flottaient librement, se balançant au rythme de ses pas vifs, rapides, mais silencieux. C’était parfois à cause de ses pas que des personnes disaient que Zora étaient semblables aux personnes sur qui elles travaillaient : aussi silencieuse et morbide que ceux-ci elle n’aimait pas discuter avec ses compagnons et préférait de loin, il était vrai, l’ambiance un peu déstructurée de la morgue.

Au détour d’un couloir, elle rencontra justement le pire de ses ennemis : un jeune agent spécial qui avait eu le malheur d’essayer de lui voler un baiser et qui s’était retrouvé le nez défoncé par le coude de la jeune femme. Depuis son petit béguin passager s’était transformé en une haine vivace dont Zora espérait qu’il se débarrasserait vite, ne serait-ce que pour sa tranquilité d’esprit. Ils échangèrent un regard meurtrier, comme un combat silencieux et Zora continua tranquillement son chemin, non sans avoir eu la satisfaction qu’il ait baissé les yeux le premier. Elle ne put s’empêcher de penser qu’elle était une championne en la matière.

Mais alors qu’elle se croyait enfin tranquille –il faut toujours que quelque chose arrive à ce moment-là, évidemment !-, quelqu’un l’interpella, et pas discrètement en plus ! Elle regarda à droite et à gauche, essayant de voir s’il ne s’adressait pas à quelqu’un d’autre, mais non, c’est elle qui s’y collait. Zora soupira un peu, mais bon... Il fallait bien qu’elle fasse quelque chose, non ? Alors elle le laissa s’approcher et écouta ce qu’il avait à dire.

Super ! Il était nouveau et quoi ?! Aah... Elle se souvenait de son premier jour : personne n’évait voulu l’aider parce que personne ne voulait se retrouver à la morgue alors elle avait dû se débrouiller toute seule... Jusqu’à ce que le capitaine en personne lui montre le chemin. Elle ne l’avait plus beaucoup revu depuis... Bon, s’il faut que quelqu’un aide cette pauvre âme en détresse, autant que ce soit elle. Il viendrait plus souvent au sous-sol, peut-être.

- Attendez... Jack Wilson, vous dites ? Ce doit être dans le Sud du bâtiment, laissez-moi voir le plan...

Déterminée, elle le prit pourtant avec de la délicatesse et pas trop brusquement pour qu’il croit qu’elle pense qu’elle est supra intelligente... Même si c’est le cas. Zora regarda un peu et rendit le plan à ce jeune homme avec ces quelques paroles :

- Bon, je vais vous y conduire parce que vous ne vous en sortirez jamais tout seul ! C’est un véritable labyrinthe pour les nouveaux ici.

Elle eut un petit sourire amusé : il était sûrement plus âgé qu’elle et pourtant elle l’appelait « nouveau ». C’était étrange parfois d’avoir de l’ancienneté dans ce Commissariat.

- J’oubliais de me présenter : Zora, je suis la légiste de ce Commissariat. Pas de madame entre nous, s'il vous plaît. Bon, suivez-moi.

Et alors ils commencèrent à traverser différents couloirs de l’établissement, un silence rassurant se plaçant entre les personnes.

- C’est la première fois que vous venez ici ? demanda-t-elle sur le ton poli de la conversation.

Modern Knight Nombre de messages : 351 Age : 33 Date d'inscription : 11/07/2007

La 7éme brigade de Deceit town, un commissaria que Talker avait connu par le passé et dont il avait eu le plaisir de venir y travailler en coopération sur certaines enquêtes...

Le personnels était pour la plus part accueillant et trés qualifié, normal, c'était le lieu de travail de l'ancien sénateur mais avec la mort de celui-ci il se pourrait bien que ce poste de police sombre peit à petit comme tout les autres de la ville...

Notre ancien agent de police y était venu incognito, masqué par un casquette de baseball et une paire de lunette de soleil pour récupérer quelque chose dont il avait besoin, comme il l'avait prévu ce fut trés facil pour lui de se faufiler dans ce complexe tout en faisant attention d'éviter les champ de capture des caméra de surveillance...

Il ne restait plus qu'à notre ami, le soin de s'éclipser aussi furtivement et facilement que lorsqu'il était entré...

Malheureusement, plongé dans ses pensées et soucieux de ne pas se faire filmer par la caméra à l'angle du couloir, Talker détourna le regard de sa route et ne vit pas arriver une autre personne en face de lui qu'il percuté de plein fouet...

C'était une belle jeune femme, ravissante mais qui tomba à terre sous le choc, jeffrey s'agenouilla alors sur le sol pour s'assurer qu'elle n'avait rien et retira donc ses lunettes pour vérifier si il ne l'avait pas blessé.

"Excusez moi mlle, on m'a interpellé et dans l'angle je ne vous ais pas vu venir, j'en suis réellement navré, vous... vous n'avez rien?"

Zora écoutait avec une demi-oreille la réponse de ce monsieur et s’occupa plutôt du chemin que d’autre chose. Ben oui, elle n’allait quand même pas s’intéresser à ce qu’il disait complètement ! Après tout, elle avait genre autre chose à faire dont se rappeler le chemin pour aller chez Wilson. Alors de temps en temps elle hochait de la tête ou souriait toujours aussi poliment, rien de plus. Elle utilisait une technique que sa mère lui avait apprise il y a très longtemps. Celle-ci lui avait dit que les hommes parlaient beaucoup pour ne rien dire et que de toute façon ils s’écoutaient souvent parler. Alors il suffisait de temps en temps leur jeter un coup d’œil ou de sourire pour qu’ils croient leurs interlocuteurs attentifs à la conversation. Évidemment, parfois ça ne marchait pas et sa mère s’était faite sévèrement corriger, mais normalement ça réussissait la plupart du temps.

Ses pensées erraient un peu au gré de ses envies... Zora n’était pas d’humeur conciliante aujourd’hui, sinon elle l’aurait écouter avec attention et aurait ensuite fait des commentaires des plus sarcastiques, comme à son habitude, mais elle n’aimait pas du tout faire une nuit blanche et vu les événements... Elle n’en pouvait plus. Ce n’est pas qu’elle était fatiguée –Zora n’a jamais été fatiguée de toute sa vie-, mais plutôt de la lassitude et un brin d’impatience sociale. Ce qu’est l’impatience sociale ? C’est le fait qu’on ne sait pas être patient avec les autres personnes... Ce qui arrivait dans ce cas-ci.

Zora tourna à gauche, puis de nouveau à gauche pour éviter les secteurs des agents spéciaux : beaucoup d’entre eux ne l’aimaient pas beaucoup et elle préférait éviter une scène de ménage devant le nouveau. Il pourrait demander pourquoi est-ce qu’ils réagissaient ainsi et elle serait obligée de lui expliquer, ce qui foutrait sa journée en l’air ! En y allant gaiement ! Et puis, il faut dire aussi qu’il fera peut-être bientôt partie de ces types à l’allure débraillée qui ne prenne pas la peine de se laver sous prétexte qu’ils n’en ont pas le temps ! Ou peut-être pas... Zora le regarda un instant et se dit que non, il avait l’air trop sympathique pour ça.

Comme mademoiselle ne faisait plus attention où elle marchait, il devait obligatoirement arriver quelque chose... Ben oui ! Juste quand elle ne regarde plus où elle marche ! Elle reporta le regard devant elle et... Paf ! La rencontre violente. Elle cogna violemment une personne qui avançait en contresens, tellement violemment qu’elle en tomba par terre. Le choc était énorme, chaotique, elle sentait la vie la quitter et... Comment ça elle en fait trop ? Bon, d’accord c’est vrai que ça ne lui faisait pas si mal que ça, mais elle était quand même un peu sonné. Zora porta la main à son crâne pour vérifier qu’elle n’était pas blessé, ce que faisait également la personne qu’elle avait cogné.

La légiste ne s’occupa pas tout de suite de lui, trop inquiète de savoir si elle avait une bosse, mais elle se rendit bien vite compte qu’il avait peut-être mal lui aussi, bien que ce soit peu probable vu la situation présente. Il avait retiré ses lunettes, ce qui laissa à Zora la durée parfaite pour l’observer à son gré et à le cataloguer dans sa mémoire. Car oui, les légistes sont connus pour leur mémoire exceptionnelle qui leur permettait de connaître beaucoup de choses sur les blessures en tout genre, de savoir comparer des anciennes enquêtes à des affaires en cours et de se rappeler pendant très longtemps des corps qu’ils ont analysés, vu que l’on demande parfois au légiste de faire une déclaration devant une cour. Zora se promit donc de ne pas l’oublier celui-là.

La première chose qui la frappa c’est qu’il était beaucoup plus grand qu’elle ne l’avait cru quand elle l’avait percuté : pas étonnant que ce soit elle qui est tombée par terre ! Des cheveux bruns qui étaient arrivés à se glisser hors de sa casquette et des yeux marrons précédemment cachés par des lunettes, rien de vraiment extraordinaire si ce n’est cette petite lueur d’intelligence qui brillaient au fond de ses prunelles. Zora, se sentant prise en faute lorsqu’il s’excusa, rougit un peu et se releva assez brusquement et déclara rapidement, mais pas méchamment :

- Non, non, je n’ai rien...

Elle enleva les quelques poussières qui se trouvaient sur sa blouse blanche –enfin, qui était blanche il y a quelques instants- et regarda l’homme devant elle.

- Je suis également désolée, moi non plus je ne faisais pas vraiment attention... Je m’en excuse. Sinon... Je n’aurai pas manqué quelqu’un tel que vous.

Elle soulignait discrètement qu’il était assez grand pour qu’elle le remarque. Soudain, elle se rendit compte qu’elle saignait à la main, ce qui avait taché sa blouse qu’elle avait essuyée un peu plus tôt. Peu étonnée par le sang, Zora porta sa main à la lumière et se rendit compte que ça coulait beaucoup, mais que la blessure était plutôt superficielle. Avec un petit sourire taquin, elle chercha un mouchoir dans sa poche et l’entoura autour de la plaie en déclarant à l’inconnu :

- Eh bien, on peut dire que vous faites des ravages, vous.

Sans plus vraiment s’occuper de ce beau brun aux yeux brillants, elle se tourna vers l’homme qu’elle conduisait. Zora ne l’avait pas oublié, ce serait humiliant pour elle sinon.

- Vous venez ? Nous n’allons pas rester ici toute la journée non plus.

Elle reprit son chemin, aussi rapidement qu’avant, non sans glisser à celui qu’elle avait cogné.

- Bonne journée monsieur, et encore désolée.

Mais comment s’était-elle coupée ? C’était impossible d’arriver à un tel résultat dans un simple couloir ! Zora n’avait pas vu le bout de verre qui reposait encore sur le sol. Sinon, elle l’aurait certainement analysé et découvert qu’il venait de son propre laboratoire. Mais maintenant, elle ne le saura sans doute jamais, parce que ce qui était le plus important pour l’instant, c’était d’aider cet homme à atteindre sa destination. Soudain...

- Voilà. Vous êtes arrivé.

Modern Knight Nombre de messages : 351 Age : 33 Date d'inscription : 11/07/2007

Talker eut le plaisir de voir se relevé sous ses yeux, une jeune femme asiatique des plus charmantes, si éblouissante et charmante qu'il en avait presque oublié où il se trouvait et ce qu'il était censé faire...

Il remarqua qu'elle rougit, puis que ces joue n'était pas les seul choses à avoir prit cette couleur, apparement elle s'était blessé à la main...

Elle prit un mouchoir dans sa poche pour arrêter "l'hémoragie" tout en adressant un sourire renversant à Jeffrey, un sourire comme il n'en n'avait jamais eu et qui ne l'avait jamais autant touché...

Il n'eut pas le temps de lui répondre, que le doux rêve qu'il venait de rencontrer s'enfuyait déjà aprés avoir donné des excuses qui n'était pas de mise...

Notre protagoniste n'eut pas le temps de dire un moment mais il réussit habilement à glisser un papier contenant son numero de téléphone, dans une des poches de la blouse de cette jeune femme.

Il ne savait pas vraiment pourquoi il avait fait ça et n'avait pas vraiment réflécjhis aux conséquences que cela pouvait lui causer, mais même en y repensant aprés il s'en foutait un peu...

Il avait ressentit quelque chose durant un moment si court mais si intense à la fois qu'il était prêt à donner son âme au diable et à allez à l'autre bout de la terre pour pouvoir la revoir...

Quand elle eut prit l'intersection du couloir, que sa silhouette disparu alors de son regard et que le rêve alors prit fin, Jeffrey se remit en marche verson destin et peu importe ce que lui réservait l'avenir...

Il sourierait à la mort, connaitrait la joie et la tristesse, ferait face à la peur et à tout les dangers et cracherait sur la tombe de ces ennemis avant de connaitre un sort funeste et fatal...

La sortie n'était alors plus trés loin, l'achévement de son objectif également...

Il sortit du poste de police, lança un dernier regard songeur en direction du batiment en ne pensant qu'à elle, puis avec regret mais par obligation, continua son chemin...

*Il de ces moments
Ou l'on regrette tant
De n'avoir pu donner
Toute l'intensité
Ni toute la sincérité
Qu'on aurez souhaité
En d'autres instants
Mais que l'on n'oubli pas avec le temps...*

La vie est une route longue et difficile, parsemé d'embuches ici et là, avec des rencontres plus intenses les unes que les autres, et bien qui nous donne toujour le choix, ne nous permet pas toujour de choisir celui qui nous ait agréable mais celui qui est necessaire...

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