Analyse photo

J'avais recu un mysterieux e-mail anonyme concernant l'affaire Wilson. Je me rendis au laboratoire d'analyse pour y faire analyser l'e-mail.

Je m'adressa au technicien de service, Bryan Maffer.

- Maffer, j'ai un petit service à vous demander.
- Je vous écoute.
- J'ai recu un e-mail douteux concernant une affaire. Je voudrais que vous fassiez une analyse de la photo qui s'y trouve et éventuellement me trouver les coordonnées de l'expéditeur. Tout est sur la clé USB.

Je lui tendis la clé USB.

- Tenez.
- Très bien, je vous fait ca le plus rapidement.
- Merci Maffer, appelez moi quand vous avez du nouveau.

Je quitta la pièce et retourna dans mon bureau.

Modern Knight Nombre de messages : 351 Age : 33 Date d'inscription : 11/07/2007

[MJ] L'agent spécial Wilson quitta la piéce laissant le technicien seul avec cette mystérieuse clé USB...

Sans plus attendre il l'inséra dans son ordinateur et en retira le seul fichier qui s'y trouvait, Bryan ouvra le dit document et tomba alors nez à nez avec une superbe asiatique trés aguichante et attirante...

Cependant Maffer était du genre de l'autre côté de la barriére si vous voyez ce que je veux dire, c'est pourquoi la photo ne lui inspira qu'un léger sourire un peu de dégout mais aussi un peu d'amusement...

Il analysa la photo sous tout les angles cherchant la moindre info intéressante mais il ne trouva qu'une sorte de piéce d'or caché dans l'iris droit de la jeune femme, il décida d'utiliser un autre programme pour ouvrir un fichier sous adjacent à la piéce dissimulé si il y en avait...

Son intuition lui porta bonne fortune, il y avait effectivement un fichier caché dans cette photo, il l'ouvrit et ses yeux furent ébaït devant cette découverte...

Il fit une copie de dossier sur son disque dur, et s'apprêta par la suite à rejoindre Wilson mais sur le chemin il fit une mauvaise rencontre, il n'eut le temps de voir que la porte s'ouvrir sur un visage familier puis le noir total...

Plus tard un autre agent de police qui avait besoin d'une aide pour son enquête découvrit le corp de ce chèr Maffer dans le labo allongé et inerte sur le sol, on lui avait apparement brisé le cou, la salle était également dans un salle état, la clé USB avait disparu et les ordinateurs étaient tous plus ou moins amochés... [/MJ]

Je fus alerté par un agent qui venait de faire une macabre découverte dans le labo. Je m'y rendis immédiatement.

Quelle fut ma surprise, lorsque je vis ce pauvre Maffer mort, la nuque brisée. La majorité des équipements étaient détruits et ma clé USB avait disparu. Ca ne pouvait pas etre une coincidence.

- Appelez les scientifiques, desfois qu'ils tirent quelque chose de ces ordinateurs. Et appelez aussi la légiste.

Un agent sortit de la pièce pour prévenir les personnes nécessaire.
Quelques minutes plus tard, les scientifiques arrivaient avec tout leur matériel et se mirent à bosser. On verra ce qu'ils trouveront.
Le médecin légiste ne devraient plus tarder maintenant.

Zora n’aimait pas voir son sang couler. Elle n’en avait que trop vu lors de nombreuses séances face à ce tatoueur, en compagnie de Simon, cet homme qu’elle avait pensé pouvoir manipuler et qui avait fini par la trahir. Elle était quasiment sûre que ce porc avait pris son pied en la voyant souffrir sous les mains de ce bourreau qui lui enfonçaient une aiguille dans la peau, sans jamais faire apparaître aucune émotion sur son visage. Zora caressa du bout de ses doigts son épaule sur laquelle se trouvait un des tatouages en question : une esquisse tribale qui voulait dire, paraissait-il en langue ancienne : « fidélité ». Signature d’un de ses amants qui n’avait pas supporté le fait qu’elle ait essayé de se soustraire à son autorité. C’était peut-être de là que Zora tenait le fait qu’elle ne cherchait plus de relations avec les autres. Qu’est-ce qui lui disait que tous les hommes n’étaient pas comme ça. À force d’avoir connu la violence dans son enfance, elle ne se demandait pas si tout le monde ne cachait pas cette part d’ombre en lui, cette partie qui ne désirait qu’une chose : faire souffrir autrui. Zora aussi avait sa part d’ombre, mais elle la canalisait dans son travail... Ce n’était pas plus mal.

Alors qu’elle revenait dans la morgue, la légiste se dirigea vers le lavabo et entreprit d’enlever le sang sur sa main. Sa blouse, elle, était fichue ! Pas moyen de la récupérer et elle serait bonne pour la poubelle en fin de journée. Maintenant, elle ne pouvait pas se permettre de la jeter du travail l’attendait... Zora prit le premier bout de tissu qu’elle trouva sur son chemin – ce qui se trouvait être les restes de la blouse qu’elle avait enlevée ce matin- et réussit à se faire un bandage digne de ce nom. Alors qu’elle entourait sa main de tissu, le visage de l’homme dans le couloir lui revint à l’esprit. Elle ne l’avait jamais vu avant, la légiste en était certaine... Peut-être qu’il était témoin dans une affaire. En tout cas ça expliquerait peut-être le fait qu’elle ne l’avait pas vu et que quelqu’un l’ait interpellé. La jeune femme ne put s’empêcher de rougir en se rappelant les deux yeux marrons de cet homme qui l’avaient fixée avec une telle intensité... Qu’elle s’était sentie un peu défaillir. Était-ce pour cela qu’elle avait l’impression d’avoir pressé le pas pour fuir ? Non, elle avait juste repris son travail avec brusquerie et détermination, comme elle le faisait toujours.

Zora soupira encore une fois. Bon, maintenant elle ne le reverrait pas, donc plus besoin de se torturer l’esprit. Alors elle se focalisa sur la seule chose à faire aujourd’hui : son boulot. Bah oui, il faut bien qu’elle s’occupe un peu l’esprit. La jeune femme s’approcha alors de la table où était déjà couché un corps. Elle avait vite lu le rapport des policiers qui l’avait trouvé : une jeune homme, probablement mort d’une overdose, mais mieux valait s’en assurer. Bien qu’elle appréciait que peu ce genre d’autopsie, elle avait au moins quelque chose à faire. Alors elle commença par doucement ouvrir le torse, juste à la hauteur du sternum pour pouvoir observer les côtes. Bientôt, l’odeur fut assez insoutenable pour qu’elle doive porter un masque, ce qui ne la dérangea pas plus que cela. Ses yeux parcoururent cette partie du corps, à la recherche d’éventuelles anomalies. Zora, comme elle portait des gants, n’hésita pas à aller jusqu’à toucher chaque côte pour être sûre qu’aucune d’entre elles n’était cassée. Ensuite, elle sortit sa seringue et fit une prise de sang bénigne. Pas de doute : son sang devait contenir au moins un gramme de cocaïne... C’était énorme ! Elle décida tout de même à aller vérifier s’il n’avait pas été agressé. Alors elle s’approcha de la tête avec son scalpel, quand soudain... Quelqu’un entra.

Elle suspendit son geste et vit l’agent qui était entré passer de la couleur habituellement rose de sa peau à un vert maladif. Implacable, mais amusée par la situation, elle garda un visage impénétrable, mais dans ses yeux brillaient une lueur de taquinerie :

- Je vous prierai de ne pas vomir dans la morgue, s’il vous plaît... OU alors je promets de tout faire pour que vous soyez obligé de le nettoyer avec votre langue.

L’argument dut apparemment le convaincre assez pour qu’il se retienne de ne pas rendre son petit-déjeuner. Il ravala tout ce qu’il avait en bouche avant de faire des signes inexplicables à Zora pour tenter de lui dire ce qui s’était passé. La légiste, passée maître dans l’art de comprendre les gens juste par leurs mimiques, comprit vite que quelque chose de très grave venait d’arriver. Elle quitta le corps qu’elle était en train de découper pour prendre quelques scalpels dans une mallette prévue à cet effet : dans son métier, il lui arrivait de devoir faire des autopsies sur place. Mais alors qu’elle voulut mettre une petite lampe dans sa poche, Zora découvrit un papier, avec un numéro de téléphone. Perplexe, elle se demanda ce qu’il faisait dans sa poche. Mais elle n’y réfléchit pas davantage et le remit dans sa poche avant de suivre le policier au bord de l’évanouissement.

Quand elle arriva sur les lieux du crime, elle reconnut immédiatement Jack Wilson, un des grands patrons du commissariat. Zora ne lui parlait pas beaucoup, mais le peu de contact qu’elle avait eu avec lui étaient plutôt amicaux et elle n’avait jamais eu de problèmes en sa présence. Quand elle vit le corps de Maffer, elle s’arrêta quelques secondes pour reprendre contenance. Par contre avec lui, Zora avait eu des tonnes de conversations et elle le connaissait très bien... Elle avait souvent pris un café en sa compagnie, comme le labo et la morgue doivent souvent travailler ensembles... Zora était choqué de voir que les crimes pouvaient être faits jusqu’à l’intérieur de la police.

Son émotion ne la guida pas plus longtemps et elle trouva rapidement un visage de médecin. Elle s’agenouilla à côté du corps, en prenant soin de ne touche à rien d’important avant de commencer à le regarder intensément. Pour ne pas être impolie, elle lâcha un petit :

- Bonjour Jack.

En tant que légiste en chef, Zora était au même niveau que celui-ci et elle se permettait toujours de l’appeler par son prénom. Mais bon, elle n’avait jamais su si ça lui plaisait ou pas et à vrai dire elle s’en fichait complètement. Retrouvant son caractère habituel, elle continua sur sa lancée, d’un ton un peu plus convaincu :

- On l’a trouvé il y a combien de temps ?

Le corps était déjà assez raide. Pourtant... la mort ne devait pas remonter à si longtemps que ça... Elle remarqua tout de suite le cou plié en deux, ce qui n’était pas si difficile à remarquer, mais elle se doutait que ce ne devait pas être la raison première...Experte, elle enfila des gants en caoutchouc –avec un peu plus de difficulté pour sa main bandée- et toucha délicatement la tête de la victime. Elle toucha son crâne avec toute la finesse dont elle pouvait faire preuve et nota quelques détails dans sa tête : plusieurs contusions, prouvant qu’il était d’abord tombé à terre. Peut-être des traces d’une arme contendante, une batte de base-ball ou même une barre en fer. Mais Zora penchait plus pour la batte, bien qu’un tel objet soit difficile à cacher, les blessures étaient encore assez superficielles pour qu’elles aient été faites par un objet en bois. De plus, la distorsion du cou prouvait qu’elle avait été faite une fois que le pauvre homme était tombé à terre, inconscient. La légiste poursuivit ses investigations dans un silence d’or, attendant peut-être les réactions de l’agent spécial.

La légiste observa le corps et enfila ses gants.

- On l'a trouvé il y a 5 minutes. Je lui ai confié un travail il yu a une heure et il était bien vivant. J'ai ma petite idée sur le mobile. J'espere que les scientifiques m'en diront plus. De quoi est il mort ?

J'observai avec attention le travail du légiste et des scientifiques afin de suivre de tres pres cette affaire.

Zora ferma les yeux un moment pour se visualiser la scène. Vu les blessures de Maffer, il devait avoir rencontré son agresseur de face. Celui-ci a une arme dans la main, un objet long et dur. Il donne un grand coup dans le crâne de la victime et celle-ci tombe en arrière. Mais l’agresseur n’en a pas fini, il assène encore quelques coups à la victime qui tente de se protéger avec les mains avant de tomber dans l’inconscience. C’est seulement à ce moment-là que l’agresseur s’agenouille et finit par lui briser le cou. Zora rouvrit les yeux, oui... C’était ça.

L’agression avait été rapide, net et sans bavure. Cette personne savait exactement ce qu’elle faisait et elle l’avait bien fait. Pendant un instant, la jeune femme se sentit flancher, se laisser aller à des émotions de tristesse et de colère. Mais elle se reprit bien vite, sachant que le talent d’un médecin se voyait à son sang-froid, que ce soit n’importe quelle branche de la médecine. Alors elle respira juste un grand coup et se concentra de nouveau sur ce qu’elle faisait, juste pour essayer de ne pas voir en la victime son ancien ami, mais plutôt un rapport de plus dans une armoire.

Elle écouta attentivement la réponse de l’homme à côté d’elle et fut un peu surprise de ce qu’elle entendit. À peine une heure ! Vu l’état du cadavre, ça avait l’air impossible, il était quasiment raide, ce qui n’arrivait pas avant au moins trois heures... À moins que... À moins que Maffer ait bu de l’alcool quelques temps avant de se faire agresser, ce qu’elle trouverait étonnant connaissant la personne, mais bon, on ne savait jamais. Avec extrêmement de délicatesse, elle remonta la manche du scientifique et sortit sa seringue. Toujours aussi doucement, elle recueillit un peu de sang et s’empressa de le ranger dans sa mallette. Avec le peu de tact dont elle savait faire preuve, elle expliqua ce qu’elle venait de découvrir :

- Le meurtre ressemble à une simple agression : utilisation d’une arme contendante, puis on pourrait croire que l’agresseur a profité que sa victime soit à terre pour le rouer de coup. On tend à croire à cela parce que des côtés sont cassées et qu’il y a plusieurs traces d’hématomes et d’ecchymoses à des points stratégiques de l’anatomie humaine, mais ce n’est pas si simple... Il semble que l’agresseur ait tué sa victime en lui brisant la nuque avec ses mains, vous pouvez voir les traces de ses doigts sur le cou, avant de lui infliger des coups et de lui casser plusieurs membres. Apparemment l’assassin a tout fait pour qu’on croie à une agression quelconque... Mais je crois plutôt qu’il cherchait quelque chose... Et à voir cette pièce il doit l’avoir trouvée.

Elle ferma sa mallette et regarda encore un peu le corps de Maffer. Elle restait un peu perplexe. Qu’est-ce qu’un scientifique pouvait avoir de si important pour qu’un homme veuille le tuer ? Elle avait du mal à organiser ses pensées, beaucoup de mal à se faire à l’idée que maintenant, n’importe lequel d’entre eux pouvait finir comme Maffer.

- Pour l’assassin, je dirais... Dans les environs de 1m85, assez musclé, avec des mains assez longues. Je ne saurais rien dire de plus... En tout cas, il savait ce qu’il faisait, ça ne m’étonnerait pas qu’il appartienne à la police ou à un réseau de mafia, mais c’est certain que c’est un professionnel.

Elle se releva et regarda autour d’elle. Avant de regarder de nouveau l’agent spécial en chef.

- Quelques détails me dérangent sur ce meurtre, tout d’abord : pourquoi ne pas juste l’assommer pour prendre tout de suite l’objet de sa visite ? La seule raison plausible était peut-être que Maffer connaissait son assassin. Ensuite, comment cela se fait-il que le corps soit déjà presque raide alors que cela fait moins d’une heure qu’il est mort ? J’ai fait une prise de sang que je vais faire analyser pour savoir si la victime avait pris un quelconque médicament ou produit qui aurait accélérer le processus. Quant à vous ? Un avis personnel ?

- Au niveau de la rigidité, je n'en sais rien mais concernant l'acharnement, j'ai ma petite idée. Je lui ai confié tout à l'heure un fichier a examiner. Je suppose qu'il avait découvert quelque chose et venait me l'annoncer quand il a été surpris. Le meurtrier ne voulait absolument pas qu'il parle et a détruit les ordinateurs pour effacer les preuves. Esperons que les scientifiques auront de trouvé quelque chose. Mais il est fort possible que qu'il le connaissait. Si c'est un professionnel, il se peut que ca soit un ancien de la maison ou un militaire. En tant qu'ancien marine, je connais moi même plusieurs facon de tuer quelqu'un d mes propores mains qe qui est tres utile pour neutraliser les sentinelles ennemies.
Je vais essayer le découvrir tout ça. Emmenez le corps à la morgue. Je veux un rapport d'autopsie rapidement. Merci Zora.

Je regarda le travail pointu des scientifiques qui cherchaient un peu partout et m'approcha de l'un d'eux.

- Alors ? Vous avez quelque chose ?

Modern Knight Nombre de messages : 351 Age : 33 Date d'inscription : 11/07/2007

[HRP: Sorry j'avais pas vu ^^]

[MJ]

Les scientifiques n'avaient pas trouvé grand chose, les disque dur avait disparu, des feuilles de diverses dossiers trainaient un peu partout dans la salle.

Pas de trace de la clé USB ni de toute autre appareil qui pourrait expliqué ce qui s'était passé, mais c'est alors que le hasard joua en la faveur des forces de police...

Un des scientifiques percuta par erreur le bureau de Maffer c'est alors qu'n genre de compartiment s'ouvrit, à l'intérieur se trouvait un ordinateur portable allumait avec une fenêtre ouverte qui disait fichier reçu...

On découvra que Maffer avait en faite eu la bonne idée de télécharger en secret toutes les informations concernat tout les dossiers qu'il traité sur son ordinateur portable et personnel, un cable reliait directement le PC principal au portable, bien que c'était une bonne chose il ne faut pas oublier que c'était également illégale et en cherchant un peu plus sur la vie de l'ancien analyste et craque en informtique on découvrit qu'il vendait des informations à diverse criminelle leur permettant de prendre le large avant de se faire chopper...

Wilson interpella un des scientifiques à qui il fit les révélations précédente...

L'agent spécial regarda la fichier qui avait été téléchargé il s'averrait que c'était en faite un rendez-vous, une date et un lieu était inscrit:

"34 Amsterdam Street à Deceit Town, la date du rendez vous était celle du lendemain à 14h..."

Jack allait apparement rencontrer son informateur, bien que cela soit une bonne nouvelle cela voulait aussi dire que l'homme qui avait tué Maffer serait aussi au rendez-vous et ça pouvait être une information moins réjouissante...

J'avais fait quelques découvertes étranges dans ce laboratoire ...

Je nota le lieu et l'heure de rendez vous et dis au scientifiques :

- Messieurs, merci pour votre aide, je veux un rapport de tous ce que vous avez trouvé sur mon bureau le plus rapidement possible.

- Bien monsieur.

Je retourna dans mon bureau pour réfléchir à toute cette histoire et à ce que j'allais faire.